‘Sous les coûts’ : Sélection spéciale Festiv’Elles

Les violences économiques constituent une forme de contrôle coercitif exercé par un partenaire intime. Elles se manifestent par la prise de contrôle des finances de la victime, souvent en profitant de la connaissance intime de ses faiblesses et de son environnement. Ces actes visent à soumettre et à isoler économiquement la victime, réduisant ainsi son autonomie.

Ce film de 26 minutes met en lumière les témoignages de trois femmes qui ont subi ces formes de violence souvent invisibles. À travers leurs récits intimes, ce documentaire cherche à briser le silence et à ouvrir le débat public sur ces réalités trop souvent ignorées. La séance sera suivie d’un débat avec des expert·e·s et des représentant·e·s de la société civile pour discuter des solutions et actions concrètes à mettre en place pour lutter contre ces violences.

Synopsis : 
La rencontre, la relation, l’argent. La séparation, la justice, l’épuisement. Gwendolina, Fatma et Medina parlent de leurs vies volées. Elles témoignent du contrôle, de la domination, du mépris des institutions, de la violence quotidienne. Elles racontent le cercle infernal des violences économiques dont elles sont victimes.

En pratique :

SÉANCE UNIQUE
Dans le cadre de Festiv’Elles, festival du film sur les droits des femmes
En collaboration avec Cinergie et Soralia

Une fois par mois, le Ciné4 vous donne rendez-vous pour découvrir le meilleur du court métrage belge dans une ambiance conviviale. Au programme de cette séance, des films spécialement sélectionnés pour leur thématique liée aux luttes pour les droits des femmes. Comme toujours, la projection sera suivie d’un drink offert dans notre espace bar.

PROGRAMME: 
Sous les coûts, de Benjamin Durand (documentaire, 2024, Financité/Gsara, 32′)

Lilith, d’Elina Leloup (fiction, 2023, IAD, 16′)
Lors d’un repas de famille, Lilith se demande si elle pourra encore aimer son frère.

Sixtine, d’Etienne Barrère et Ludmila Bergeon (fiction, 2022, IAD, 17′)
Sixtine à 19 ans et veut se faire stériliser. Pour entamer les démarches, elle doit écrire une lettre à l’enfant qu’elle n’aura jamais et remettre en question ses convictions les plus profondes.

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