Atelier de
production
Créé en 1991 et reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles, l’atelier de production du GSARA a pour vocation de soutenir la production et la promotion d’un cinéma documentaire de création qui sensibilise aux réalités du monde contemporain, qu’elles soient politiques, sociales ou culturelles, et dont l’originalité, l’expérimentation et l’authenticité traduisent la rencontre singulière entre le réel et le regard d’un cinéaste. Dans cette démarche, il veille à accueillir et à aider surtout les premières œuvres de nouveaux auteurs, tout en continuant d’apporter son soutien aux projets de cinéastes confirmés.
→Avant tout dépôt, merci d’écrire à la secrétaire de l’atelier de production, afin de convenir d’une rencontre et de s’assurer de la recevabilité du dossier :
Stefanie Bodien - Secrétaire de l'atelier de production
stefanie.bodien@gsara.be
BOURSE D’AIDE À L’ÉCRITURE & AUX REPÉRAGES – PREMIER & DEUXIÈME FILM
La demande de bourse peut être présentée soit à titre individuel soit par la production du projet.
L’aide est plafonnée à 3000€ et versée sous forme de bourse.
Calendrier 2024
- Inscription des projets : jusqu'au mardi 2 avril 2024
- Dépôt des dossiers : lundi 22 avril 2024
- Réunion du comité de lecture : mardi 21 mai 2024
Le Comité de lecture se réunit deux fois par an pour octroyer des aides destinées à la production, à la post-production et à la promotion. Ces aides sont constituées uniquement de matériel et/ou de services.
Le premier comité de lecture 2024 pour l’aide à la post-production se tiendra le 2 juillet.
- Inscription des projets : jusqu'au vendredi 24 mai 2024
- Dépôt des dossiers : mercredi 12 juin 2024
- Réunion du comité de lecture : mardi 2 juillet 2024
Le deuxième comité de lecture 2024 pour l’aide à la post-production se tiendra le 13 décembre.
- Inscription des projets : jusqu'au mardi 12 novembre 2024
- Dépôt des dossiers : lundi 25 novembre 2024
- Réunion du comité de lecture : vendredi 13 décembre 2024
« Résidence point de vue - point d'écoute » #3 (2024)
Dans le cadre de la résidence annuelle organisée par l'Atelier de Production du GSARA, nous invitons :
un/e artiste sonore travaillant le son de manière artisanale
et
un/e artiste visuel/le travaillant le film analogique (super8, 16mm)
à réaliser ensemble un court métrage sur le thème de la diversité bio-culturelle qui prendra comme point de départ le MARAIS WIELS à Forest.
On peut décrire la diversité bio-culturelle comme la coévolution et l'adaptation permanentes de la diversité biologique, culturelle et sociale. Elle recouvre également la diversité des lieux et reflète les façons de « vivre ensemble » des humains et non-humains sur ces lieux.
Point de départ
Les artistes sélectionné.e.s pour cette troisième édition de la « Résidence point de vue - point d'écoute » seront amené.e.s à produire une œuvre audiovisuelle à partir du MARAIS WIELS d'une durée de 10 à 15 minutes. Les candidatures peuvent être présentées par un binôme (deux artistes se connaissant déjà et voulant travailler ensemble) ou bien individuellement (en quel cas le binôme sera composé par le GSARA). Le résultat de cette résidence sera montré pour la première fois lors de l'exposition « Histoires de marais » (titre provisoire) dont le vernissage est prévu le 30 janvier 2025 au BRASS. Le MARAIS WIELS y apparaîtra comme un lieu de foisonnement du vivant, sur un plan biologique, social et narratif.
L’Atelier de production du GSARA
Créé en 1991 et reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles, l’Atelier de Production du GSARA a pour vocation de soutenir la production et la promotion d’un cinéma documentaire de création qui sensibilise aux réalités du monde contemporain, qu’elles soient politiques, sociales ou culturelles, et dont l’originalité, l’expérimentation et l’authenticité traduisent la rencontre singulière entre le réel et le regard d’un cinéaste. Dans cette démarche, il veille à accueillir et à aider surtout les premières œuvres de nouveaux auteurs, tout en continuant d’apporter son soutien aux projets de cinéastes confirmés.
Le Brass
Le BRASS est le Centre Culturel et la Maison des Cultures de Forest. Il jouxte le Marais Wiels.
La plus grande partie de ses actions sont menées dans l’ancienne brasserie Wielemans-Ceuppens, dont les machines ont été préservées et qui reste un véritable témoin du patrimoine industriel du début du XXème siècle. Au cœur de la diversité bruxelloise, le BRASS soutient la vitalité artistique et culturelle émergente. www.lebrass.be
L'exposition « Histoires de marais » (titre provisoire)
Récits d’un lieu humide, foisonnant et ambigu. Un lieu au statut encore un peu flou.
Beaucoup l’appellent « Marais Wiels », on entend aussi parfois dire « le parc » ou « la friche » - différentes manières de dire nos relations diverses à un lieu.
Un étang régional pour les pouvoirs publics.
Un refuge pour les humains et non-humains qui se sont installés là, avec ou sans permission.
Un observatoire de la biodiversité.
Une valeur ajoutée sur le marché de l'immobilier.
Un laboratoire politique.
Une fabulation.
Un coin de pénombre dans la ville suréclairée.
Bref : une multitude d’histoires qui se racontent autour de l’eau.
Travail du son et de l’image
Par le biais de cette résidence, le GSARA souhaite encourager une écriture audiovisuelle innovante qui accorde au sonore une part de créativité et d’importance égale à celle du visuel. En effet, lors de la réalisation de films, trop souvent l'image domine le son, le son accompagne l'image, l’illustre. En invitant à travailler de manière parallèle et autonome le son et l'image, un lieu de rencontre sera créé qui permettra de faire émerger la force poétique de l’asynchrone. Au cours du processus de travail, les deux artistes devront se mettre d'accord sur les points de rencontre entre leurs médiums respectifs. Ils échangeront régulièrement sur l'avancement du projet et confronteront leur points de vue/d'écoute de manière constructive.
Esthétique
Au niveau du son, nous privilégions une approche artisanale par opposition à l’hyper technicisation contemporaine sonore. Au niveau visuel, nous voulons valoriser cette pratique artisanale visuelle, aussi ancienne qu’avant-gardiste qu'est l'image analogique. Celle-ci permet de créer des images dont la teneur esthétique est souvent particulièrement intéressante : grâce au grain de la pellicule, elle produit des images hors des sentiers battus qui s'apparentent davantage à la peinture qu'aux images lisses des reportages télévisuels. Le rendu des couleurs si particulières de la pellicule contribue également à la création d'images tour à tour brutes, oniriques et visuellement stimulantes.
Soutien financier
Les artistes bénéficieront chacun.e d’une rémunération artistique de 1500,- €. Pour l'achat de matériel artistique spécifique (maximum 30 minutes de pellicule super 8 ou 16mm + développement) une somme de 750,- € (+TVA) est prévue. La numérisation des images analogiques est également prise en charge par le GSARA et sera effectuée par PELISKAN (rushes de 30 minutes maximum). Les deux artistes travailleront de manière autonome et devront être équipé.e.s techniquement (caméra, microphone, ordinateur, logiciel de montage) pour mener à bien leurs recherches sonores et visuelles. En plus du budget susmentionné, le GSARA proposera ses services au niveau du mixage son, de l'étalonnage et de la diffusion.
Calendrier
- 25 juin 2024 à minuit : Date limite de la remise des candidatures (uniquement par mail adressé à stefanie.bodien@gsara.be).
- 1er juillet : Début de la résidence pour les deux artistes, qui démarrera par deux sessions collectives de travail. S’ensuivra une seconde phase de travail individuel entrecoupée de rencontres ponctuelles entre les deux artistes. Le montage de l'image et du son devra se faire également pendant cette période.
- 1er décembre : Ultime phase de post-production (mixage son et étalonnage).
Chacune des phases est accompagnée par la responsable de l'Atelier de Production du GSARA.
- 30 janvier 2025 : vernissage de l'exposition au BRASS avec la présentation du film fini.
Modalités de candidatures
L'appel à projets pour la Résidence « Point de vue - Point d'écoute » s'adresse aux artistes belges et aux artistes internationaux résidant en Belgique. La langue de travail sera le français. Chaque dossier comprendra les coordonnées de l’artiste, un CV, une lettre de motivation, un budget prévisionnel et de la documentation éclairant la démarche artistique (portfolio, visuels, audio, liens vimeo, textes, etc.). Des idées de réalisation liées à la thématique sont les bienvenues.
Partenaires de la Résidence : BRASS, PELISKAN.
Avec l'aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Pour toute question ainsi que pour la remise des candidatures, veuillez contacter Stefanie Bodien, responsable de l'Atelier de Production du GSARA, à l'adresse suivante : stefanie.bodien@gsara.be
« Résidence point de vue - point d'écoute » #2 (2023)
Dans le cadre de la résidence annuelle organisée par l'Atelier de Production du GSARA, nous invitons
un/e artiste sonore travaillant le son de manière artisanale
et
un/e artiste visuel/le travaillant le film analogique (super8, 16mm)
à collaborer ensemble sur la thématique du VÊTEMENT.
Le GSARA
Créé en 1991 et reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles, l’Atelier de Production du GSARA a pour vocation de soutenir la production et la promotion d’un cinéma documentaire de création qui sensibilise aux réalités du monde contemporain, qu’elles soient politiques, sociales ou culturelles, et dont l’originalité, l’expérimentation et l’authenticité traduisent la rencontre singulière entre le réel et le regard d’un cinéaste. Dans cette démarche, il veille à accueillir et à aider surtout les premières œuvres de nouveaux auteurs, tout en continuant d’apporter son soutien aux projets de cinéastes confirmés.
Point de départ
Les artistes sélectionné.e.s pour cette deuxième édition de la « Résidence point de vue - point d'écoute » seront amené.e.s à produire une œuvre audiovisuelle à partir de la thématique du VÊTEMENT qui se concrétisera dans un salon lavoir à Schaerbeek à proximité de la Maison des Arts. Elle fera partie des œuvres présentées dans l'exposition « Vêtements » (titre provisoire) qui sera montrée à la Maison des Arts du 22 septembre au 26 novembre 2023.
La Maison des Arts
La Maison des Arts de Schaerbeek est un centre d'art contemporain niché dans une maison bourgeoise du début du XIXème siècle qui accueille des expositions d'art plastique et développe un programme de médiation permettant l'accès de l'art contemporain à tous. http://lamaisondesarts.be/
L'exposition « Vêtements »
Le vêtement parle de nous, de notre rapport au monde, à l’autre et à notre corps. Nous l’adaptons bien sûr au climat, au contexte, à l’époque. Il est cette part que nous laissons visible à l’autre. Il peut être un signe d’appartenance à un groupe (un milieu social, un âge ou un monde professionnel), il nous permet de nous fondre dans l’anonymat du monde ou dans un groupe d’amis ou, au contraire, affirmer notre singularité. L’exposition réunira des œuvres de la collection communale de Schaerbeek (XIXème et XXème siècles) en dialogue avec les créations d’une douzaine de plasticien.ne.s contemporain.e.s.
Le salon lavoir
Le salon lavoir de choix sera celui qui se trouve dans la chaussée de Haecht au coin de la rue Seutin à 1030 Bruxelles, en face de la Maison des Arts (« Airwash »), dans un quartier très animé et multiculturel. Comme dans tout salon lavoir, on y lave ses vêtements, on les sèche, on les plie. On déballe son linge, du plus pratique au plus intime, devant les autres, comme si c'était la chose la plus normale du monde. Les cultures s'y croisent sans heurts. Le salon lavoir apparaît ainsi comme un lieu presque utopique au potentiel poétique et politique, à la fois banal et symbolique, un lieu d'attente et de vide, mais aussi d'action et de rencontre.
Objectif
La collaboration entre les deux artistes aboutira sur une œuvre audiovisuelle commune d'une durée de 10 à 15 minutes. Les artistes choisiront leur point de vue ainsi que l'axe par lequel le sujet sera abordé : par exemple en faisant le portrait d'un usager du salon lavoir ou bien plus généralement du lieu, en créant des compositions d'image et de son abstraites et/ou concrètes. Le thème du vêtement doit être présent dans l'œuvre finie, d'une manière ou d'une autre.
Travail du son et de l’image
Par le biais de cette résidence, le GSARA souhaite encourager une écriture audiovisuelle innovante qui accorde au sonore une part de créativité et d’importance égale à celle du visuel. En effet, lors de la réalisation de films, trop souvent l'image domine le son, le son accompagne l'image, l’illustre. En invitant à travailler de manière parallèle et autonome le son et l'image, un lieu de rencontre sera créé qui permettra de faire émerger la force poétique de l’asynchrone. Au cours du processus de travail, les deux artistes devront se mettre d'accord sur les points de rencontre entre leurs médiums respectifs. Ils échangeront régulièrement sur l'avancement du projet et confronteront leur points de vue/d'écoute de manière constructive.
Esthétique
Au niveau du son, nous privilégions une approche artisanale par opposition à l’hyper technicisation contemporaine sonore. Au niveau visuel, nous voulons valoriser cette pratique artisanale visuelle, aussi ancienne qu’avant-gardiste qu'est l'image analogique. Celle-ci permet de créer des images dont la teneur esthétique est souvent particulièrement intéressante : grâce au grain de la pellicule, elle produit des images hors des sentiers battus qui s'apparentent davantage à la peinture qu'aux images lisses des reportages télévisuels. Le rendu des couleurs si particulières de la pellicule contribue également à la création d'images tour à tour brutes, oniriques et visuellement stimulantes.
Soutien financier
Les artistes bénéficieront chacun.e d’une rémunération artistique de 1500,- € ainsi que d'un forfait de 300,- pour la diffusion de l'œuvre au sein de l'exposition. Pour l'achat de matériel artistique spécifique (maximum 30 minutes de pellicule super 8 ou 16mm + développement) une somme de 750,- € (+TVA) est prévue. La numérisation des images analogiques est également prise en charge par le GSARA et sera effectuée par PELISKAN (rushes de 30 minutes maximum). Les deux artistes travailleront de manière autonome et devront être équipé.e.s techniquement (microphone, ordinateur, logiciel de montage) pour mener à bien leurs recherches sonores et visuelles. En plus du budget susmentionné, le GSARA proposera ses services au niveau du mixage son et de l'étalonnage (3 jours maximum).
Calendrier
- 23 avril à minuit : Date limite de la remise des candidatures (uniquement par mail).
- 3 mai : Début de la résidence pour les deux artistes, qui démarrera par deux sessions collectives de travail.
S’ensuivra une seconde phase de travail individuel entrecoupée de rencontres ponctuelles entre les deux artistes.
- 1er septembre : Ultime phase de post-production pendant laquelle le son et l'image se rencontreront sur un terrain commun.
Chacune des phases est accompagnée par la responsable de l'Atelier de Production du GSARA.
- 22 septembre: vernissage de l'exposition à la Maison des Arts de Schaerbeek avec la présentation du film fini.
Modalités de candidature
L'appel à projets pour la « Résidence point de vue - point d'écoute » s'adresse aux artistes belges et aux artistes internationaux résidant en Belgique. La langue de travail sera le français. Chaque dossier comprendra les coordonnées de l’artiste, un CV, une lettre de motivation, un budget prévisionnel et de la documentation éclairant la démarche artistique (portfolio, visuels, audio, liens vimeo, textes...). Des idées de réalisation liées à la thématique sont les bienvenues.
Partenaires de la Résidence
La Maison des Arts de Schaerbeek, PELISKAN.
Avec l'aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Pour toute question ainsi que pour la remise des candidatures, veuillez contacter Stefanie Bodien, responsable de l'Atelier de Production du GSARA, à l'adresse suivante :
stefanie.bodien@gsara.be
« Résidence point de vue - point d'écoute » #1 (2022)
Une proposition de collaboration pour deux artistes, l'un/e travaillant le son, l'autre travaillant l'image en pellicule, autour d'un sujet donné, qui aboutira à une œuvre audiovisuelle commune d’une durée de 10 à 15 minutes.
Travail du son et de l’image
Par le biais de cette résidence, le GSARA souhaite encourager une écriture audiovisuelle innovante qui accorde au sonore une part de créativité et d’importance égale à celle du visuel. En effet, lors de la réalisation de films, trop souvent l’image domine le son, le son accompagne l’image, l’illustre. En invitant à travailler de manière parallèle et autonome le son et l’image, un lieu de rencontre sera créé qui permettra de faire émerger la force poétique de l’asynchrone. Au cours du processus de travail, les deux artistes devront se mettre d’accord sur les points de rencontre entre leurs médiums respectifs. Ils échangeront régulièrement sur l’avancement du projet et confronteront leur points de vue/d’écoute de manière constructive.
Au niveau du son, nous privilégions une approche artisanale par opposition à l’hyper technicisation contemporaine sonore.
En invitant un/e artiste travaillant l’image en celluloïd, nous voulons valoriser cette pratique artisanale visuelle, aussi ancienne qu’avant-gardiste. L’image analogique permet de créer des images dont la teneur esthétique est souvent particulièrement intéressante : grâce au grain de la pellicule, elle produit des images hors des sentiers battus qui s’apparentent davantage à la peinture qu’aux images lisses des reportages télévisuels. Le rendu des couleurs si particulières de la pellicule contribue également à la création d’images tour à tour brutes, oniriques et visuellement stimulantes.
Malgré la liberté artistique dont jouiront les deux artistes, il ne faudra pas perdre de vue le cadre de travail et le sujet donné. Le lien avec le réel devra ressortir clairement.
Thème de l'année 2022: Ariane Bergrichter et l'Art Brut
En 2022. les artistes sélectionnés pour la Résidence « Point de vue – Point d’écoute » seront amenés à produire une œuvre audiovisuelle à partir de l’œuvre d’Ariane Bergrichter, une artiste présente dans la collection du Musée Art et Marges. Entre 1988 et 1996, oscillant entre des phases de clairvoyance et d’angoisse, Ariane Bergrichter (1937–1996) se met à transcrire scrupuleusement des voix qu’elle entend dans sa tête et qui la harcèlent jusqu’à sa mort. Dans la même période, elle parcourt le centre-ville de Bruxelles pour croquer sur le vif des scènes de café, des individus au profil remarquable, des ouvriers au travail, construisant ainsi une chronique brute et sans fioritures de la vie quotidienne. Après sa mort, ses enfants ont trouvé plus de cinquante collages fourrés dans une grande valise brune. Ainsi rassemblées, ces œuvres forgent une mémoire cacophonique à travers le temps, composée d’innombrables histoires individuelles et disparates, unifiées par l’œil et la main de l’artiste.
Une exposition de l’œuvre d’Ariane Bergrichter est prévue pour l’automne 2022 au Musée Art et Marges à Bruxelles.
Le film produit dans le cadre de la résidence sera présenté en décembre 2022 au Cinéma NOVA lors d'une programmation ayant pour thématique l’Art Brut ainsi que lors de l’exposition de l’œuvre d’Ariane Bergrichter au Musée d’Art et Marges.
Après un appel à projets largement diffusé, deux artistes ont été sélectionnées:
Clara Beaudoux (clarabeaudoux.net) qui développera la bande sonore, et Adina Ionescu-Muscel (imadina.eu) qui concevra la partie visuelle du film.
Calendrier
- 26 avril à minuit : Date limite de la remise des candidatures (uniquement par mail).
- 10 mai : Début de la résidence pour les deux artistes, qui démarrera par deux sessions collectives de travail.
S’en suivra une seconde phase de travail individuel entrecoupée de rencontres ponctuelles entre les deux artistes. - 1 septembre : Ultime phase de post-production pendant laquelle le son et l’image se rencontreront sur un terrain commun.
Chacune des phases est accompagnée par la responsable de l’Atelier de Production du GSARA. - Automne 2022 : Avant-première au Musée Art et Marges
- Automne 2022 : Première au Cinéma NOVA.
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Partenaires de la Résidence
Musée Art et Marges, Cinéma NOVA, PELISKAN.
Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
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Image : Ariane Bergrichter